Il est aussi possible que le syndic n’ai pas bien fait la déclaration
Tu peux leur demander l’attestation d’immatriculation et ensuite retrouver la copro à partir du numéro d’immatriculation pour vérifier pourquoi elle n’est pas présente dans le registre.
J’avais un autre raisonnement : comment un tiers pourrait-il parvenir à un géocodage de meilleure qualité après la production du fichier ?
Je ne dit pas qu’il ne faille pas conserver l’adresse dans le référentiel. Mais dans le fichier produit, le lat/lon reste plus concis.
Fais-je erreur ?
lat/lon est plus concis, mais dans certains cas, pour faire des croisements de base par exemple, je préfère travailler sur l’adresse qui permet de s’assurer que l’on parle du même bâtiment, la ou les coordonnées GPS ne suffisent pas.
En l’absence d’id du bâtiment c’est plus pratique (en tout cas dans mes réutilisations de ce genre de base) d’avoir seulement l’adresse, quitte à la géocoder moi-même, plutôt que seulement les coordonnées à partir desquelles je ne peux pas retrouver l’adresse à tous les coups.
En plus, les coordonnées ne sont qu’une donnée déduite, autant avoir la donnée source (qui est remplie par les syndics) de manière à pouvoir la travailler différemment si on le souhaite.
en rattachant non pas une copro à un point adresse, mais aux parcelles désservies par cette adresse
Je préfère qu’on indique quand un lat/lon est issu d’un géocodage (et encore plus si on explique ce qu’on a fait).
Un bel exemple… la SIRENE géolocalisé de l’INSEE, où la qualité du géocodage est « variable ». Heureusement que l’adresse d’origine est fournie, ça permet de refaire ça à sa sauce.