Bonjour Etienne,
Merci pour ta réponse.
Ma question peut concerner n’importe quelles données qui seraient mises à disposition à titre onéreux à partir d’un certain seui: transport, méteo, etc.
comme je vois que la SNCF et la RATP sont deux cas célèbres, j’y fais référence.
Ces deux entreprises ont-elles réussi à justifier la facturation de leurs données (comme le veut la loi d’orientation des mobilités) ? ou alors elles ont simplement imposé ces situations sans se faire rappeler à l’ordre?
je suis d’accord avec la question que tu poses " est-ce qu’il y a plus à gagner à faire payer les données, plutôt que faciliter leur utilisation". Et c’est justement pour y répondre que je lançais ce petit débat. La réponse implicite de la RATP et de la SNCF, c’est qu’il vaut mieux controler/facturer ses données à partir d’un certain seuil.
est-ce que je dois comprendre de vos réponses (@cquest), que la loi impose la gratuité, mais que la SNCF ou la RATP ont préféré gardé la main sur la communication à grande échelle (au-dessus du seuil) de leurs données “stratégiques”?
je pense qu’il y a encore beaucoup de fantasmes et d’inconnues autour des données, en discuter permet de démystifier les choses. On ne dispose donc d’aucun chiffre pour voir qui est prêt à payer, combien et quelles rentrées pour la RATP ou la SNCF?
merci et bonne journée!
Stef