Webinaires de la donnée : commande publique, science ouverte, data literacy

Bonjour à toutes et tous,

nous avons le plaisir de vous inviter à trois webinaires thématiques en cette fin d’année qui s’inscrivent dans le prolongement des ateliers Dat’accélère et des Open Data Days organisés avec l’Avitem dans le cadre du projet européen Odeon :

JEUDI 10 DÉCEMBRE, 10H30 - 12H

L’ouverture des données de la commande publique : aller au-delà de la publication des données essentielles

Inscription : https://app.livestorm.co/datactivist/louverture-des-donnees-de-la-commande-publique-au-dela-de-la-publication-des-donnees-essentielles

Depuis le 1er octobre 2018, tout acheteur public doit publier les données essentielles des marchés publics qu’il a conclu dont la valeur est égale ou supérieure à 25 000 € HT. Cette obligation a été codifiée dans le code de la commande publique et concerne plusieurs dizaines de milliers d’entités.

Après avoir dressé un panorama de ce que les acheteurs publics ont l’obligation de faire en matière d’open data, deux acteurs publics viendront témoigner de la mise en œuvre de l’open data, au-delà de l’obligation réglementaire, au sein de leur structure.

  • L’ouverture des données essentielles de la commande publique : que doivent faire les acheteurs publics ? Emeline Vandeven, consultante open data chez Datactivist
  • L’ouverture des données étendues de la commande publique du Conseil régional de Bretagne. Valérie Bédel Denis, Cheffe de projet ouverture des données.
  • L’ouverture des données issues des clauses sociales des marchés publics de la Ville de Paris. Meriem Belkhodja, Cheffe du pôle achats responsables et Rodérick Jacobée, Chef de projet dématérialisation des marchés publics

LUNDI 14 CEMBRE, 10H30 - 12H

Data Literacy : pourquoi les données ne doivent pas être réservées à une élite ?

Inscription : https://app.livestorm.co/datactivist/data-literacy-pourquoi-les-donnees-ne-doivent-pas-etre-reservees-a-une-elite

La data literacy peut être définie comme la capacité de « lire, de travailler avec, d’analyser et d’argumenter avec des données. » En 2014, l’Organisation des Nations Unies (ONU) a publié le rapport « A world that counts » qui plaide pour un programme mondial d’éducation aux données, indispensable pour que les objectifs de développement durable soient suivis. Cette question se pose aussi au sein des organisations qui se rendent compte des limites d’une stratégie data portée par une petite « élite » interne en capacité de comprendre ces enjeux. Pour reprendre le slogan de la Data Literacy Conference organisée par la FING à Aix-en-Provence, « les données sont désormais une affaire trop importante pour être laissées entre les mains des spécialistes. »

Comment faire en sorte que les compétences data soient mieux réparties ? Quelles actions conduire dans une organisation ? Et qui doit se saisir de l’enjeu de la data literacy ? Après une présentation de la notion de data literacy et des compétences associées, trois acteurs présenteront leur point de vue et partageront des ressources :

  • De l’alimentation au machine learning, revue de méthodologies pour tous sujets et tous publics - Charles Nepote, administrateur d’Open Food Facts, ancien responsable des programmes data de la FING
  • La valise data ou comment assembler un kit physique pour former aux rouages de la donnée - Margot Sarret, Designer et ingénieure pédagogique à Fréquence Ecoles
  • La data literacy, une compétence digitale clef de la formation initiale à la recherche d’emploi - Marie Bancal, Responsable des partenariats et du développement de Pix

VENDREDI 18 CEMBRE, 10H30 - 12H

La science ouverte et l’open data dans la recherche : pourquoi, comment, pour quels usages ?

Inscription : https://app.livestorm.co/datactivist/la-science-ouverte-et-lopen-data-dans-la-recherche-pourquoi-comment-pour-quels-usages

Dans le mouvement de la science ouverte, la question des données de recherche tient une place à part. Quelles données partager et comment ? Ces dernières années, plusieurs évolutions réglementaires ont fait de l’accès libre aux données scientifiques une mission de la recherche publique, puis une obligation légale (sous certaines conditions). Concrètement, l’aspiration citoyenne à bénéficier des fruits de la recherche, mais aussi les critiques envers la recherche non reproductible, rendent cet impératif plus que jamais nécessaire.

Après un panorama de l’open data dans la recherche, trois acteurs scientifiques viendront témoigner de l’ouverture des données dans les sciences de l’environnement (océanographie et agronomie) et dans un institut de recherche tourné vers les pays méditerranéens et les pays du Sud.

  • “La science ouverte et l’open data dans la recherche : pourquoi, comment, pour quels usages ?” par Antoine Blanchard, consultant science ouverte chez DATACTIVIST
  • “L’ouverture des données de la recherche avec les pays du Sud” par Jean-Christophe Desconnets, directeur de la Mission science ouverte à l’IRD (Montpellier)
  • “L’ouverture des données de la recherche marine” par Cécile Pertuisot, gestionnaire de données océanographiques à l’Ifremer (Brest)
  • “L’ouverture des données de la recherche sur les arbres” par Bénédicte Wenden, chargée de recherche à l’Inrae (Bordeaux)

Ces webinaires sont organisés avec l’Avitem dans le cadre du projet européen ODEON. Cette initiative, financée par le programme Interreg-Med, a organisé un 1er cycle d’ateliers à l’automne 2019 (« Dat’accélère »), un 2e cycle d’ateliers au printemps 2020 (Open Data Days), et une 1ère session d’événements en ligne en mai (Webinaires de la Donnée)

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