J’ai envie de répondre « les deux » et « en même temps ».
Les portails permettent une éditorialisation utile, qu’elle soit en lien avec soit une thématique, soit une zone géographique.
Par contre, tout portail devrait être moissonnable et moissonné pour permettre des recherches globales, car leur multiplication les rends parfois peu découvrables.
Un exemple emblématique… le site de l’INSEE. Site fort utile, mais son contenu est peu découvrable, non moissonnable et donc non moissonné.
Certains portails permettent aussi une mise à disposition des données sous forme d’API. Ce n’est pas forcément utile pour tous les types de données (les APIs c’est bien, en abuser ça craint), mais ca peut servir des cas comme :
La mise à disposition de données qui bougent régulièrement (GTFS-RT, places de parking, capteurs, …)
Permettre des visualisations de données interactives
Parcourir des données volumineuses (ex : base Sirene)
Je rejoins sur le fait que les métadonnées des datasets d’un portail devraient être poussées sur data.gouv.fr pour augmenter la découvrabilité des données.
En tant que réutilisateur je préfère avoir un catalogue qui centralise toutes les métadonnées, mais ca ne me dérange pas ensuite de naviguer vers des portails spécifiques pour récupérer les données.
Comme Christian, les 2 !
Un portail en propre permet de donner une visibilité politique et interne des données publiées. Nous assurons une meilleure mobilisation des services pour qu’ils publient des données. Le portail en propree nous sert de SAS en quelque sorte et permet également une maîtrise des outils, du contenu éditorial, etc…
