A l’occasion de la journée des droits des femmes, j’ai datatouillé les données du fichier FANTOIR de la DGFiP avec celles des prénoms de l’INSEE pour obtenir une liste des noms les plus donnés (masculins et féminins) et leur dynamique sur ces 15 dernières années.
Bonjour,
Je me pose une question au sujet de ce « datatouillage ». L’écrivaine Colette n’apparaît plus dans les 100 premiers odonymes français. Alors qu’elle y figurait en 2016, avec 267 rues (entre Édith Piaf et Elsa Triolet, d’après une infographie parue dans « Slate ». Est-ce possible qu’elle ait perdu autant de places au classement ? Merci de votre réponse. Dominique