Bonjour,
je ne sais pas si vous avez vu ce cycle de conférence joliment intitulé “L’art des données / Les données de l’art” :
Les données sont aujourd’hui un enjeu essentiel. En art, elles sont à la fois point de départ et matériau d’oeuvres contemporaines ainsi que de nouvelles methodologies de recherche. L’art des données / Les données de l’art est une série de conférences initiée par Clarisse Bardiot (Université de Valenciennes). Chaque rencontre fait intervenir un chercheur en histoire de l’art et un artiste. Leurs réflexions se croisent autour des enjeux liés aux données dans leurs pratiques respectives.
La prochaine rencontre a lieu le 3 mars à Lille avec l’intervention d’Antoine Courtin
Sera abordée l’articulation – aujourd’hui au centre de nombreux projets à l’international – entre les projets de recherche en histoire de l’art et les GLAMs (galeries, Librairies, Archives and Museums) autour de l’ouverture des contenus numérisés, à la fois dans sa mise à disposition comme matériaux de création, et de son intégration dans des interfaces compréhensibles pour l’humain et interprétable pour un système informatique. Mais également l’approche computationnelle mobilisant les sciences dites fondamentales et l’histoire de l’art, bien que déjà ancienne, notamment pour la restauration d’objets et la connaissance physique des objets, le New AGLAE du C2RMF en est un exemple frappant, a pris ces deux dernières années un nouveau tournant autours de la donnée avec les avancées du Deep Learning.
et d’Albertine Meunier qu’on connait pour avoir publié en open data son historique de recherche Google
Albertine Meunier tente dans ses recherches et pièces créées à révéler l’invisible ou la poésie des choses numériques. Elle donnera un aperçu de ses productions artistiques ancrées sur le sujet de la Data.